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Impressions : Crush3D

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Nombreux sont les joueurs a être passés à côté de l’excellent Crush de Zoe Mode en 2007. Il faut croire que SEGA n’avait pas assez mis…

Nombreux sont les joueurs a être passés à côté de l’excellent Crush de Zoe Mode en 2007. Il faut croire que SEGA n’avait pas assez mis l’accent sur la promotion du soft. Pour ne rien arranger, il fut destiné à la PSP. Où comment partir avec un handicap certain… Enfin, les retardataires auront en janvier prochain l’occasion de découvrir Crush3D, un remake du volet fondateur, cette fois destiné à la 3DS ! Il n’est jamais trop tard.


Un concept complexe

Avant de rentrer dans le vif du sujet, je pense qu’il serait de bon ton de déblayer le terrain en évoquant le principe même de Crush, et par extension de Crush3D. Propulsé grâce à la machine d’un docteur répondant au nom de Reubens dans l’esprit d’un certain Danny, insomniaque notoire au bout du rouleau, vous allez devoir vous frayer un chemin dans les labyrinthes qui vous attendent, en jouant avec des plans tantôt en 2D, tantôt en 3D. Pour une fois qu’un soft semble destiné à la 3DS et à l’effet 3D offert par son écran supérieur, on s’en réjouit ! Car c’est bien cela qui devrait faire la force de cette production : sa manière de vous offrir des niveaux capables d’êtres exploités en 2D et en 3D, et de gonfler et de dégonfler (comprenez : il s’agit là d’une manière détournée de jouer avec les perspectives) certains éléments qui viendront croiser votre chemin. Le switch entre ces 2 vues s’opérant d’un simple clic sur l’une des touches de la console de Nintendo. Dans la pratique, cela se traduit par exemple par votre habilité à atteindre une plate-forme paraissant au premier abord bien trop élevée, qui devient accessible une fois votre personnage placé au bon endroit. Pour peu évidemment que vous vous décidiez à jouer avec le bon plan (2D/3D, vous suivez ?)

L'illustration parfaite des plans 2D/3D proposés au sein d'un même niveau !

Remake 3D, remake coloré

Rassurez-vous : les développeurs de ce Crush3D n’ont pas été cruels, et ils ne vous jetteront pas directement dans la fosse aux lions. Ils vous gratifieront avant cela d’un tutorial en bonne et due forme, qui vous permettra d’appréhender les rouages de l’esprit bancal de Danny. Ceci étant dit, soulignons que mise à part son changement de plate-forme et sa capacité à offrir un affichage désormais en 3D, Crush3D ne devrait pas être très différent de son modèle. Reste qu’il sera cette fois bien plus coloré, et qu’il troquera son habillage autrefois sobre au possible contre quelque chose de plus chatoyant. Ou de plus vendeur, c’est selon. Remake oblige, la durée de vie qui, si elle est identique à la version PSP avec tout juste 40 tableaux, si mes souvenirs sont bons, risque d’être le principal point faible de ce jeu. Enfin, Crush3D semble avoir fini de jouer avec nos nerfs : prévu dans un premier temps pour le mois de septembre dernier il ne devait, suite à un report de dernière minute, sortir qu’au mois de février 2012. SEGA a toutefois annoncé il y a quelques jours de cela qu’ils avaient décidé d’avancer sa sortie, pour nous l’offrir dès le 13 janvier prochain.

Nombreux sont les joueurs a être passés à côté de l’excellent Crush de Zoe Mode en 2007. Il faut croire que SEGA n’avait pas assez mis l’accent sur la promotion du soft. Pour ne rien arranger, il fut destiné à la PSP. Où comment partir avec un handicap certain… Enfin, les retardataires auront en janvier prochain l’occasion de découvrir Crush3D, un remake du volet fondateur, cette fois destiné à la 3DS ! Il n’est jamais trop tard.


Un concept complexe

Avant de rentrer dans le vif du sujet, je pense qu’il serait de bon ton de déblayer le terrain en évoquant le principe même de Crush, et par extension de Crush3D. Propulsé grâce à la machine d’un docteur répondant au nom de Reubens dans l’esprit d’un certain Danny, insomniaque notoire au bout du rouleau, vous allez devoir vous frayer un chemin dans les labyrinthes qui vous attendent, en jouant avec des plans tantôt en 2D, tantôt en 3D. Pour une fois qu’un soft semble destiné à la 3DS et à l’effet 3D offert par son écran supérieur, on s’en réjouit ! Car c’est bien cela qui devrait faire la force de cette production : sa manière de vous offrir des niveaux capables d’êtres exploités en 2D et en 3D, et de gonfler et de dégonfler (comprenez : il s’agit là d’une manière détournée de jouer avec les perspectives) certains éléments qui viendront croiser votre chemin. Le switch entre ces 2 vues s’opérant d’un simple clic sur l’une des touches de la console de Nintendo. Dans la pratique, cela se traduit par exemple par votre habilité à atteindre une plate-forme paraissant au premier abord bien trop élevée, qui devient accessible une fois votre personnage placé au bon endroit. Pour peu évidemment que vous vous décidiez à jouer avec le bon plan (2D/3D, vous suivez ?)

L'illustration parfaite des plans 2D/3D proposés au sein d'un même niveau !

Remake 3D, remake coloré

Rassurez-vous : les développeurs de ce Crush3D n’ont pas été cruels, et ils ne vous jetteront pas directement dans la fosse aux lions. Ils vous gratifieront avant cela d’un tutorial en bonne et due forme, qui vous permettra d’appréhender les rouages de l’esprit bancal de Danny. Ceci étant dit, soulignons que mise à part son changement de plate-forme et sa capacité à offrir un affichage désormais en 3D, Crush3D ne devrait pas être très différent de son modèle. Reste qu’il sera cette fois bien plus coloré, et qu’il troquera son habillage autrefois sobre au possible contre quelque chose de plus chatoyant. Ou de plus vendeur, c’est selon. Remake oblige, la durée de vie qui, si elle est identique à la version PSP avec tout juste 40 tableaux, si mes souvenirs sont bons, risque d’être le principal point faible de ce jeu. Enfin, Crush3D semble avoir fini de jouer avec nos nerfs : prévu dans un premier temps pour le mois de septembre dernier il ne devait, suite à un report de dernière minute, sortir qu’au mois de février 2012. SEGA a toutefois annoncé il y a quelques jours de cela qu’ils avaient décidé d’avancer sa sortie, pour nous l’offrir dès le 13 janvier prochain.

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